Y a-t-il un lien entre la libido et l’économie? Et si oui, de quelle nature est-il ?
L’essor du capitalisme n’est-il pas dû à la pénétration, sans consentement, des sols, des marchés et des humains? La vague #MeToo a montré combien les liens charnels étaient souvent dénués de consentement mais n’en va-t-il pas de même des liens économiques ?

Et ce besoin de dominer, de profiter n’est-il pas là pour combler un manque et une peur de manquer... La finance et l’amour se jouent aujourd’hui en un clic. Et ce n’est pas un hasard ! La libido financière et sexuelle proviennent de la même source, où etre en vie et avoir envie se mélangent. Si la recherche de plaisir est évidemment souhaitable et naturelle, celui de dominer, d’exploiter et de profiter prend sa source dans des limbes bien plus sombres qui permettent à l’économie de prospérer depuis quelques siècles. Le plaisir de dominer, de profiter a remplacé celui de l’échange, de l’abondance, voire de l’amour. Si l’acte sexuel est souvent appelé une petite mort, l’acte économique mène aujourd’hui à une grande mort annoncée. Le capital serait-il l’ennemi du vital ? Y a-t-il un lien entre la libido et l’économie? Et si oui, de quelle nature est-il ?

Et si, finalement, le consentement ne permettrai- il pas d’unir ces deux énergies dans une humanité aux polarités enfin équilibrées ? Le yin et le yang, le masculin et le féminin, le plaisir et le désir? Y a-t-il un lien entre la libido et l’économie? Et si oui, de quelle nature est-il ? L’essor du capitalisme n’est-il pas dû à la pénétration, sans consentement, des sols, des marchés et des humains ?

La vague #MeToo a montré combien les liens charnels étaient souvent dénués de consentement mais n’en va-t-il pas de même des liens économiques ? Et ce besoin de dominer, de profiter n’est-il pas là pour combler un manque et une peur de manquer... La finance et l’amour se jouent aujourd’hui en un clic. Et ce n’est pas unhasard ! La libido financière et sexuelle proviennent de la même source, où être en vie et avoir envie se mélangent.

Si la recherche de plaisir est évidemment souhaitable et naturelle, celui de dominer, d’exploiter et de profiter prend sa source dans des limbes bien plus sombres qui permettent à l’économie de prospérer depuis quelques siècles. Le plaisir de dominer, de profiter a remplacé celui de l’échange, de l’abondance, voire de l’amour. Si l’acte sexuel est souvent appelé une petite mort, l’acte économique mène aujourd’hui à une grande mort annoncée. Le capital serait-il l’ennemi du vital ? Et si, finalement, le consentement ne permettrait-il pas d’unir ces deux énergies dans une humanité aux polarités enfin équilibrées ? Le yin et le yang, le masculin et le féminin, le plaisir et le désir ?